|
[ gifs ] [ video ] [ poeme ] [ bettyboop ] [ citations ]
|
|
|
|
fée
18/07/2007 16:45
L'amitié, C'est une vie, Une passion Ou une trahison.
C'est une vie Car sans elle C'est impossible.
C'est une passion Car on aime la vivre.
C'est une trahison Car chaque malheur Vous traverse le corps.
Votre ami Vous aime, Vous adore, Ou vous trahi!!!!
| |
|
|
|
|
|
|
|
je te
12/07/2007 19:39
Je me sens seule ce soir, protège-moi du monde extérieur
Je voudrais garder pour nous, ce coin unique de bonheur
Tel un grand magicien, rajoute quelques jolies couleurs
Elles ramèneront à ma vie, une toute nouvelle saveur.
Protège-moi
Des paroles dites sont souvent trop semblables à des armes
En aucun cas, je ne veux essuyer une cascade de larmes
Dites avec une voix enjôleuses, les phrases me désarment
Se plantant dans mon cœur qui survie, mais se désarme.
Protège-moi
Des regards qui cherchent à comprendre une certaine vérité
Font mal en creusant jusqu’au fond de mon âme laminée
Qui se sent usée, comme une pauvre vague sans cesse rejetée
Pourtant, elle demande l’arrêt de geste toujours recommencé.
Protège-moi
Des gestes sans amour, perpétrés par la vie de tous les jours
Il est si doux d’aimer, mais hélas parfois sans nul retour
Personne n’entend ce petit bruit sans fin et certes si sourd
Je voudrais être enveloppée de tendresse drapée dans le velours.
Protège-moi
De ces pensées qui ne seront jamais dévoilées réellement
Celles enfouies et qui sont un douloureux refoulement
Ne me dis rien, écoute simplement le murmure du temps
Protège-moi, comme si en fait, j’étais ton trésor et ton enfant
| |
|
|
|
|
|
|
|
une fleur
10/07/2007 22:30
J’aurais tant désiré naître fleur et non femme Eclore au petit jour et dès le soir faner Sans avoir eu le temps de connaître les larmes Les chagrins, les adieux et les sombres pensées
Doucement éveillée à peine avant l’aurore Par la fraîche rosée sur mes feuilles déposée J’ouvrirais un à un tous mes pétales d’or M’étirant lentement, encore ensommeillée
Peu à peu le soleil et sa douce chaleur Viendraient m’envelopper de leurs tièdes caresses Et cet astre du jour, en gagnant ses hauteurs Brillerait de mille feux et m’emplirait d’ivresse
Insensiblement mes yeux vierges de couleurs Découvriraient l’éclat des verdoyants herbages Les nuances lumineuses, jaunes ou rouges des fleurs Et l’azur éclatant d’un beau ciel sans nuages
Je serais éblouie par autant de beauté Au point d’en oublier que mon jour est unique Je saurais apprécier, regarder, respirer, Profiter pleinement de ces instants magiques
Et lorsqu’au crépuscule le vent ferait voler Juste après le plaisir d’un coucher de soleil Un à un vers le ciel mes pétales fanés Un soupir de bonheur me rendrait au sommeil
Je n’aurais rien connu des larmes, des chagrins, Des adieux déchirants, de la mort d’un ami, Mon pollen volerait jusqu’au petit matin Pour venir se poser sur ta tombe fleurie.
| |
|
|
|
|